Un violent incendie se déclarait le 12 juillet 1923 à Luplanté. « Neuf immeubles détruits » titrait l'Indépendant d'Eure-et-Loir du 14 juillet 1923 et la Dépêche d'Eure-et-Loir « Violent incendie à Luplanté, neuf exploitations détruites ». Un enfant de 7 ans est à l'origine du sinistre après avoir joué avec des allumettes.

Lors de l'importante foire de la Saint-Côme du mercredi 27 septembre 1922 à Auneau, une femme reçoit une gifle, elle tombe et est écrasée par une voiture d'un marchand de bestiaux. Les faits relatés dans l'Indépendant d'Eure-et-Loir : 

Le dimanche 23 juillet 1922 avait lieu la « Grande fête du Faubourg Saint-Jean » avec au programme, « à 10h00, le couronnement de la Rosière dans les salons de l’Hôtel de ville et à 11 h. ¼, Grand'Messe en musique en l'église de Saint-Jean ». Finalement un programme qui 100 ans plus tard est le même (le dimanche 31 juillet 2022).

Dans la nuit du 9 au 10 juillet 1922, un homme de 60 ans est retrouvé à demi-carbonisé, près du four à feu continu à la briqueterie de Langey, située au Rameau et exploitée par Mme Dubouchage et fils. Jules Saunier est découvert par son collègue qui allait prendre son tour vers minuit. Selon le Journal de Chartres, le Patriote de Châteaudun et le Journal de Brou, « on suppose que, pris d'une congestion ou d'un malaise subit, l'infortuné tomba sur la surface du four, d'où il ne put se relever ».

Le dimanche 25 décembre 1921, il y a 100 ans, au THÉÂTRE DE CHARTRES, le commerce chartrain et la presse chartraine organisait la fête de l'arbre de Noël pour comme le disait l'Indépendant d'Eure-et-Loir dans son compte rendu de « procurer de la joie aux petits et faire des heureux ». « Une première explosion de rires, de cris d'enthousiasme... c'est le bonhomme Noël qui fait son entrée comique. L'homme au manteau de bure, à la longue barbe, à la hotte remplie de jouets fait une ample distribution de poignée de main... Soudain, les rideaux du théâtre guignol s'ouvre... ».